COMPTE RENDU TRIBALLAT
SLOGAN :"La tradition nous inspire , c’est vraiment Rians"
Le jeudi 17 mars pour notre dernière visite du programme DP3, nous nous sommes rendus à la laiterie TRIBALLAT. C’est une entreprise familiale de 17 hectares spécialisée dans la production de produits laitiers frais, de desserts commercialisés sous la marque Rians dans les grandes surfaces et dans leur boutique. Nous avons était accueilli par Jérôme Durand.
Historique
La famille Triballat exploitait depuis 1901 une ferme familiale à Rians dans les campagnes du Cher, où Désiré et Francine Triballat fabriquaient des fromages avec le lait de leur exploitation.
En janvier 1952, Hubert Triballat installa dans la ferme une petite laiterie et commença à acheter et collecter à l’aide de trois employés du lait, produisant ainsi un volume de lait de 700 litres par jour .En 1965, l’effectif était de 109 personnes, la collecte représentait 11 millions de litres de lait de vache et 1,5 millions de lait de chèvre.
L’entreprise se développa dans les années 1970, lorsqu’elle vendit ses produits dans les crémeries parisiennes. Les effectifs atteignèrent à cette époque 300 personnes et la collecte représentait 30 millions de litres de lait de vache et 4 millions de litres de lait de chèvre. En 1992, la production se diversifia et l’entreprise commença la production de desserts, notamment la crème brûlée dont elle est le leader mondial et aussi de la panna cotta.
L’entreprise aujourd’hui
C’est le fils du fondateur, Hugues Triballat, qui dirige l’entreprise qui collecte en 2010, 70 millions de litres de lait de vache, 50 millions de litres de lait de chèvre et un million de litres de lait de brebis chaque année. Il réalise un chiffre d’affaire de 300 millions d’euros, exporte dans 50 pays, et a 12 sites de productions.La production principale est la faisselle. Leurs fournisseurs sont toutes les fermes aux alentours ils vont chercher du lait tous les 2 jours. Il n’ont pas vraiment de concurrents au niveau de tout ce qui est fromage car ils sont n*1 mais au niveau des desserts ils sont en concurrence avec Andros et Bonne-maman. Leur dépense la plus importante sont les d’emballages et les 220 tonnes de marchandises par jour pour la fabrication des desserts.
Le personnel et la mixité
A l’heure d’aujourd’hui, il y a 1400 employés hommes et femmes repartis en 56 % d’hommes et 44% de femmes. En voyant ces chiffres, on pourrait dire que c’est à peu prés égal mais si l’on s’intéresse aux différents métiers présents dans l’entreprise, on voit que il y a une grande partie des femmes dans le secteur du commerce et de la fabrication et que il y a une grande partie de hommes dans tous ce qui est logistique et qu’il n’ y a également aucune femme conductrice de camions.
Merci à l’entreprise de nous avoir reçu.
Compte rendu réalisé par Laura.